Riggan Thomson, acteur célèbre uniquement pour son rôle de super-héros dans la franchise fictive Birdman, veut à tout prix être reconnu du public et décide d’adapter une nouvelle de Raymond Carver en pièce de théâtre à Broadway. C’est sans compter sur les acteurs qui l’accompagne, notamment Mike Shiner, personnage incontrôlable autant dans la vraie vie que sur scène, ainsi que sa fille Sam, en pleine cure de désintoxication. Riggan doit composer en plus avec l’ombre de son personnage de super-héros, qui tend à lui pourrir la vie en s’immisçant dans son esprit.
Catégorie : Comédie
Howard the Duck, de Willard Huyck (1986)
Howard the Duck… Un titre qui évoque une sombre page financière pour Hollywood, mais aussi une multitude de souvenirs désopilants pour les cinéphiles des années 80 (et postérieures). Premier personnage Marvel ayant eu droit aux honneurs d’une adaptation cinématographique…
21 Jump Street, de Phil Lord et Chris Miller (2012)
Au lycée, Schmidt et Jenko étaient les pires ennemis, mais ils sont devenus potes à l’école de police. Aujourd’hui, ils … Plus
Les Banlieusards, de Joe Dante (1989)
Un banlieusard, Ray Peterson (Tom Hanks), devient peu à peu persuadé que ses nouveaux voisins étrangers, les Klopek, sont de dangereux individus. À la suite de la disparition de leur voisin Walter Seznick, Ray s’allie à Art Weingartner (Rick Ducommun) et Mark Rumsfield (Bruce Dern), deux de ses voisins, et concocte un plan d’infiltration de la propriété des Klopek lors de leur départ en voiture un après-midi.
Un jour sans fin, de Harold Ramis (1993)
Qui n’a pas rêvé, suite à une gaffe, un faux pas, une maladresse ou tout simplement après avoir malencontreusement renversé … Plus
Idiocracy, de Mike Judge (2006)
Joe Bowers, l’Américain moyen par excellence, est choisi par le Pentagone comme cobaye d’un programme d’hibernation, qui va mal tourner. Il se réveille 500 ans plus tard et découvre que le niveau intellectuel de l’espèce humaine a radicalement baissé et qu’il est l’homme le plus brillant sur la planète…
The Grand Budapest Hotel, de Wes Anderson (2014)
Critique du dernier Anderson (Wes, pas Paul W.S. ; faut pas déconner non plus !).
9 mois ferme, d’Albert Dupontel (2013)
Absurde, voilà un mot que j’honore. Humour noir, voilà un terme que j’adore. Dans mon panthéon, on trouve Alphonse Allais, … Plus